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L'Ode Triomphale

de Fernando Pessoa

 

Une apologie des temps futurs, déjà contenu dans le passé, conjugué au présent. Un
éloge de la mécanique, de l’énergie, de la vapeur, de l’électricité, signes prophétiques d’un âge moderne et d’un homme nouveau et
démiurge.

 

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En attendant Godot

de Samuel Beckett

 

“(...) Et la pièce le fait, elle parle du rien et à partir du rien laisse venir ce que l’on ne fait jamais, partir de rien c’est ce qu’il reste à faire quand il n’y a plus rien à faire." (Bruno Jouhet)

 

 

 

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Les Chants de Maldoror

d'Isidore Ducasse, comte de Lautréamont

 

Et c’est l’écriture le monstre des monstres, l’hybride absolu, le corps dans tous ses organes, qui contient tout mais se démultiplie, qui se meut continuellement et ne se laisse jamais circonscrire, où le poète se crée et se
recrée sans cesse...

 

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Les Oreilles de La Fontaine

Installation-théâtre d'après les Fables de Jean de la Fontaine

 

Une série de totems qui sont aussi des instruments de percussions et trois comédiennes qui bêlent, sifflent, braient, croassent, rugissent, feulent... Quand la voix est aussi un cri, un chant, une musique...

 

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Nous sommes des chiens

de Charles Pennequin

 

Pour mieux précipiter la parole dans le chaos, la dégonder par le tremblement continu, par le séïsme habité de multitudes d’autres petits séïsmes successifs, jusqu’à ce qu’elle vole en éclats, que le monde nous dise plus que ce
qu’il veut bien dire.

 

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Les Yeux de la Terre

Textes de Pablo Neruda, Georges Perec, Francis Ponge, Bruno Jouet, Jean Foucault, Maria Victoria de Alonso

 

La patate : absurde, biscornue, mais prodigieusement  sensuelle, généreuse, maternelle, en même temps qu’abstraite ou rêveuse.

 

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L'homme que nous sommes

Performance texte-saxophone, autour d'Antonin Artaud

 

"la seule question est d’avoir un corps
d’avoir avec soi assez de corps pour passer intact, intouchable, misérable et vierge à travers toutes les saletés sexuelles de l’enfer.
"

(Antonin Artaud)

 

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Passage des heures

de Fernando Pessoa

 

“Sentir de toutes les manières / Vivre de toutes les façons / Être la même chose de toutes les façons possibles en même temps, / Réaliser en soi toute l’humanité de tous les moments / En un seul moment diffus, profus, total et lointain.”

(Fernando Pessoa)

 

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Démesurément moyens

Performance texte-voix autour d'Henri Michaux, Charles Pennequin, Alain Astruc, Ghérasim Luca, Bruno Jouhet...

 

 Voix parlée et voix chantée s’harmonisent, se répondent, s’affrontent, bégaient, déraillent, murmurent, ou s’envolent. Une musique de l’instant.

 

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L'infirmière et la putain

d'alain Astruc

 

Une infirmière diplômée et une poule de luxe se retrouvent dans un studio de télévision en attendant de participer à une émission sur la condition féminine. Dans cet univers de l’information où la parole ne fait plus sens, elles retrouvent l’importance des mots.

 

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Les vioques

d'Alain Astruc

 

Une ancienne actrice parisienne et une bretonne ayant élevé ses enfants toute sa vie se retrouve à s’ennuyer dans une maison de retraite.Encore pleines d’entrain, elles viennent de jouer une pièce de théâtre et veulent recommencer. Mais le directeur et le jardinier freinent leurs ardeurs.

 

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La tarte à la crème

d'Alain Astruc

 

Deux clowns : l’un, roi des clowns - ou du moins
reconnu comme tel - et l’autre, qui n’est plus qu’un valet de restaurant. Ils se retrouvent après une vingtaine d’années à l’occasion d’une fête donnée en l’honneur du premier et organisée par les pouvoirs de la cité.

 

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En pleine figure

Haïkus japonais et Haïkus de "En pleine figure, HaÏkus de la guerre 14-18"

Deux
 présences,
 deux
 voix
, des
 haïkus
:
 ceux
 de
 la
 Grande
 Guerre
,
 d'Hiroshima
 et
 d'autres
 plus
 anciens.
 Les
 haïkus
 surgissent
 dans
 l'espace,
 sans
 préméditation 
dans 
un 
ordre 
aléatoire.


 

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Ubu Sultan

pièce de Clément Maraud

 

Pièce comique qui s'inspire du personnage
du Sultan Abdulhamid II qui reste dans l'histoire l'initiateur du génocide arménien et d'un texte d'Edmond Fazi qui raconte un rêve où le sultan est tué par Ubu, le personnage d'Alfred Jarrry.

 

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La folie Macroton

pièce écrite et jouée par Cécile Duval

 

Un candidat à l'élection présidentielle survolté, un sondeur désenchanté, des chargées de communication perdues, le public, un policier, un casseur, un journaliste, ou comment le théâtre peut destituer un pouvoir devenu fou le temps d'une pièce.

 

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Nos anciens spectacles

La Moscheta, de Ruzante

Avec Adeline Nunez, Marie Lopes, Bruno Jouhet, Can Ozden, Aurélie Miermont, Thomas Horeau, Jean-Michel Susini, Antoine Pinquier, Cécile Duval, Brigitte Goffart

 

Betïa crée la zizanie dans un faubourg de Padoue : Ruzante son mari, Tonin un soldat bergamasque et Menato paysan, son compère et ancien amant, la convoitent. Ruzante est emberlificoté dans les mauvais tours qu’il joue aux autres : en l’occurence il fait croire à Tonin que l’argent que celui-ci lui avait confié a été volé par un filou. Betïa se refuse à Menato qui (pour tenter de la récupérer) manipule Ruzante en le poussant à éprouver la fidélité de sa femme en se déguisant et en parlant comme une grammaire. Betïa se retrouve dans les bras de Tonin...Pour subsister les personnages se trompent tous allègrement les uns, les autres. Ruzante développe un comique jubilatoire et féroce où toute morale est balayée.

Le Voleur de Bagdad, d'Alain Astruc

Mise en voie/x : Cécile Duval

Avec Anna Ballesio, Cécile Duval, Brigitte Goffart, Bruno Jouhet, Marie Lopès, Anne-Lise Main, Can Ozden.
Décors : Yves Marengo

 

Une ruelle sombre au Moyen-Age, le bourgeois tente désespérément d'ouvrir sa porte. Surgit, venu des profondeurs de l'ombre, le Voleur de Bagdad, l'amant de la comédie… Un chœur de gardes qui incarne la voix du public donne une nouvelle dimension à cette situation conventionnelle : le mari, la femme, l'amant… Grâce à la parole, les pouvoirs se renversent.

Le Chinois, d'Alain Astruc

Mise en voie/x : Cécile Duval
Avec : Anna Balla, Marie Lopès

 

Une ruelle sombre, c'est la nuit. Le vieux chinois, vendeur d'opium, en costume d'apparat, vert et or, garde sa vitrine. Le policier habillé comme un com-boy de comédie arrive en jouant avec son revolver. Une histoire stupéfiante.

Le Ménage est fait, d'Alain Astruc

Avec Cécile Duval, Bastien Thelliez
Mise en voie/x de : Marie Lopès

 

Un peintre parisien est amoureux de la bonne qui vient faire son ménage, mais coup de théâtre cette dernière se révèle être une critique d`art...

 

Une pièce où la parole mène à la transfiguration et transforme le rapport du peintre à la Femme et à la création.

Le Rouge et le Vert, d'Alain Astruc

Avec Cécile Duval, Marc Buard, Bruno Jouhet

 

Perjo, un gendarme mis à l'écart dans une campagne déserte et qui veut construire une cité où "la circulation soit aussi fluide que le sang"; plante un feu rouge au milieu des champs pour arrêter un ,journalier qui passe par là tous les jours en vélo. Il l'invite à dîner chez lui, mats sa femme, Madame Perjo, qui voudrait que son mari invite un notable, reçoit très mal le journalier.

Dimey c'que tu veux...

Poèmes de Bernard Dimey, prologue de Jean Richepin

avec Anna Ballesio, Cécile Duval, Brigitte Goffart, Bruno Jouhet, Marie Lopes, Adeline Nunez, Can Ozden,
Jean-Michel Susini

 

Spectacle burlesque, léger en bouche et digeste à l'oreille. Tour à tour, les acteurs deviennent l'espace du poème, la voix principale sortie du choeur... La poésie de Dimey surgit.

 

« L’alcool est un affreux liquide qui vous détraqu’ les tripes et vous attrap’ la tête et la vide en même temps que le reste s’remplit.
Je n’en parle que par ouie dire, car jamais jamais je n’en ai bu... »

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